Alors que les premiers détails sur GPT-5 émergent, Europol a tiré la sonnette d’alarme sur les utilisations pas franchement positives de ChatGPT. Plus précisément, le rapport se concentre sur la façon dont les criminels peuvent utiliser le modèle multimodal à des fins criminelles.

Le document note que le chatbot est déjà capable de « faciliter un nombre important d’activités criminelles, allant de l’octroi de l’anonymat aux criminels à des crimes spécifiques, notamment le terrorisme et l’exploitation sexuelle des enfants ». Mais ce n’est pas tout, car la capacité de ChatGPT à écrire des textes authentiques le rend « extrêmement utile à des fins de phishing », un aspect sur lequel d’autres études de ce type s’étaient également concentrées par le passé.

Europol concentre son attention sur la rédaction d’e-mails de phishing mais aussi de communications assimilables à des communications humaines ainsi que sur les fake news.

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Selon l’étude, les modèles LLM tels que ChatGPT, utilisés dans des activités illicites, pourraient devenir un « modèle commercial clé pour l’avenir », et c’est pourquoi une attention maximale est demandée aux forces de l’ordre, qui sont confrontées à un nouveau défi.

Hier, la lettre ouverte d’Elon Musk et d’autres experts en intelligence artificielle est arrivée, demandant un arrêt du développement pendant au moins six mois, car il est dangereux pour l’humanité.